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ghana

Nom officiel : République du Ghana

Données géographiques

Superficie : 238 537 km²
Capitale : Accra
Villes principales : Accra, Kumasi, Sekondi-Takoradi, Tamale
Langue officielle : Anglais
Monnaie : cedi (taux de change au 16/07/2018 : 1 EUR = 5,61 GHS)

Données démographiques

Population : 28,8 millions d’habitants (Banque mondiale, 2017)
Croissance démographique : 2,2 % (Banque mondiale, 2017)
Espérance de vie homme/femme : 62/64 ans (OMS, 2016)
Taux d’alphabétisation : 76,6 % (Banque mondiale, 2015)
Religions : Christianisme 71,2 % (Pentecôtisme 28,3 %, Protestantisme 18,4 %, Catholicisme 13,1 %, autres 11,4 %), Islam 17,6 %, traditionnelles 5,2 %, sans religion 5,3 % (Ghana Statistical Service, 2012)

Le Ghana accède à l’indépendance en 1957. Kwame N’Krumah, leader du mouvement panafricaniste, en devient président jusqu’à son renversement en 1966. Le Ghana va ensuite expérimenter plusieurs périodes d’instabilité politique jusqu’à la fondation de l’actuelle quatrième république en 1992 par Jerry John Rawlings. Réélu en 1996, celui-ci renonce, conformément à la constitution, à briguer un troisième mandat en 2000.
Dès lors, le Ghana va connaitre une succession d’alternances pacifiques, érigeant le pays en modèle continental.
Le Ghana jouit aujourd’hui d’une stabilité à la fois institutionnelle (alternance démocratique) et sécuritaire (même si la menace terroriste n’est pas inexistante) qui en fait un pays à part dans la région.
Le développement économique poussé par le gouvernement vise à soutenir la politique de progrès social directement inspiré des Objectifs de développement durable des Nations unis dont le Président Akufo-Addo est ambassadeur.
Avec un PIB de 47,3 Mds USD et un RNB par habitant de 1490 USD en 2017, le Ghana représente la 2e économie de la CEDEAO, derrière le géant nigérian mais devant la Côte d’Ivoire.
L’économie ghanéenne repose essentiellement sur l’exploitation de matières premières (or, pétrole, gaz, cacao, manganèse, bauxite) et les activités de service qui s’y adossent.
Toutefois l’évolution favorable récente demeure essentiellement imputable au doublement de la production d’hydrocarbures en 2017, suite à la mise en exploitation des champs gaziers de Sankofa-Gye-Nyame, dans un contexte de hausse du prix du baril brut.

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