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L’UPM étudie l’impact du coronavirus sur l’eau en Méditerranée

L’Union pour la Méditerranée (UPM) mène actuellement, une étude sur l’impact du coronavirus sur le secteur de l’eau, dans le pourtour méditerranéen qui compte une population de 250 millions d’habitants.

 

Des résidus du coronavirus ont été trouvés dans les stations de traitement de l’eau, ce qui suscite des inquiétudes dans les pays qui utilisent ces eaux dans l’agriculture et incité l’UPM à œuvrer en partenariat avec ses partenaires scientifiques au sein de l’Union européenne à identifier une réponse à ce problème.

 

L’organisation qui a intensifié la concertation avec les pays méditerranéens membres, affirme que la pandémie du covid19, a provoqué des déficits dans l’approvisionnement en eau, particulièrement en Turquie et en Jordanie.

 

« Tandis que d’autres pays ont dû détourner l’eau prévue pour l’irrigation pour un usage domestique » souligne le communiqué. En plus du confinement qui dérègle les chaines d’approvisionnement en eau, l’UPM évoque des cas de contamination dans les stations d’épuration.

 

« Suite à la découverte alarmante de traces de COVID-19 dans les stations d’épuration des eaux usées et aux inquiétudes soulevées par les participants, l’UPM travaille avec le Centre commun de recherche afin d’assurer une réponse scientifique » rapporte l’UPM.

Plus de 250 millions de personnes seront considérées « pauvres en eau » dans les 20 prochaines années dans la région euro-méditerranéenne, un chiffre qui risque donc d’être aggravé par le COVID-19.

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