Victime d’excision à une semaine d’âge et d’un mariage forcé à ses 15 ans, Jaha Dukureh milite depuis des années contre les mutilations génitales féminines. En 2013, elle fonde « Safe Hands for Girls » (des mains sûres pour les filles), une association anti-mutilations génitales féminines (MGF)
Le Soudan a approuvé vendredi une loi pénalisant l’excision, une pratique ancestrale qui reste très répandue dans le pays. "La mutilation des organes génitaux de la femme est considérée comme un crime", souligne un amendement au code pénal voté par le gouvernement fin avril. Les personnes
Au Soudan, les autorités de transition viennent d'adopter l'amendement d'un article du Code pénal qualifiant désormais de crime la mutilation génitale féminine, autrement dit l'excision. Une réforme saluée par l'Unicef et les défenseurs des droits de femmes. La mutilation d'une femme pour l'exciser est désormais punie
